Miroir Louis Philippe du XIXe siècle avec gravures de fleurs
- Dimensions :
- H118 x L86 x P6
- Couleur :
- doré
- Matériaux :
- bois (Matériau)
- Style :
- classique
Miroir ancien de style Louis Philippe, français du XIXe siècle, finement gravé d'un motif entrelacé de feuilles de lierre et de fleurs. Ce magnifique miroir ancien français doré à l'or a les coins supérieurs arrondis typiques qui en font un miroir Louis Philippe. Les miroirs Louis Philippe, avec leurs lignes épurées et leur forme polyvalente, sont un choix populaire dans les intérieurs traditionnels ou contemporains. Le miroir a sa plaque de miroir d'origine et son revêtement arrière en bois. La finition dorée d'origine du cadre est joliment usée, ce qui lui donne beaucoup de caractère. Le cadre du miroir est structurellement sain et le verre est toujours en bon état. Le miroir ancien présente de légères imperfections causées par l'usure et l'âge, mais est dans un très bon état général. Le miroir présente quelques très petites taches, qui font toutes partie de l'aspect et du charme authentiques du miroir. Dimensions : H 118 cm x L 86 cm Matériaux et techniques : Verre, gesso et bois Provenance : France Période : XIXe siècle Style : Louis Philippe État : L'usure est conforme à l'âge et à l'utilisation.
Selency raconte le Miroir Louis-Philippe
Un peu d'histoire ? Le miroir Louis-Philippe est la version « économique » des miroirs classiques. À l’époque de sa création — pendant le règne de Louis-Philippe 1er, on a cherché à réduire les coûts de fabrication des miroirs, d’où son peu d’ornement (moins de matériaux), ses lignes simples (moins de main-d’œuvre) et son style à peine m’as-tu-vu (qu’on salue).
On vous conseille de le mettre au sol quand il est XL et de le poser sur une cheminée quand il est L.
On aime quand sa glace est piquée (c’est-à-dire assombrie de taches et loin d’être nette). Ça lui donne une authenticité folle.
L'info crousti 🍿
Pendant la guerre franco-prussienne de 1870, des soldats français ont caché un miroir Louis-Philippe derrière un mur pour le protéger et ce dernier serait resté caché jusqu’en 1929, date à laquelle la rénovation de l’édifice où il était dissimulé a donné lieu à sa redécouverte.