Bonbonnière en faïence fin XIXème
- Dimensions :
- H23 x L22 x P12
- Couleur :
- blanc
- Matériaux :
- céramique, porcelaine et faïence
- Style :
- classique
La bonbonnière est en très bon état, pas d'accidents, pas de fêles ni d'éclats. Il convient cependant de bien regarder les photos, la pièce est ancienne. L'on peut voir sur une photo de détail un petit saut d'émail de quelques millimètres sur le bord d'un pétale de la rose constituant la prise du couvercle. La porcelaine est de très belle qualité, lourde et dense. L'émail est resté bien brillant, mais il comporte quelques tâches grises très légères sur le côté du couvercle du côté de la tige de la rose. L'intérieur est impeccable. De forme sphérique très pure, très légèrement aplatie, la pièce repose sur un pied léger, de 1, 5 cm de haut, qui la stabilise. La prise du couvercle est une branche de rosier, feuilles, bouton, et fleur épanouie, occupant toute la partie supérieure de la sphère. Aucun autre décor, la sphère est partout ailleurs blanche et sans autres reliefs, ce qui est très harmonieux. Elle pourra aussi bien faire office de bonbonnière, de vide-poches, que de plat de service, ou pourquoi pas de fourre-tout dans la salle de bain... Belle pièce aux proportions généreuses, très rare sur le marché, en faïence fine datant de la fin du xixème.
Selency raconte la bonbonnière
Un peu d'histoire ? Au XVIIe siècle, avec l'essor du sucre et de la confiserie en Europe, les bonbonnières gagnent en popularité et sont souvent offertes en cadeau lors d'occasions spéciales comme les mariages ou les baptêmes. Aujourd'hui ? Avec ou sans bonbons (mais on préfère avec), elles peuvent se faire une place dans chaque pièce de la maison.
On vous conseille de la détourner de sa fonction première et l'utiliser comme boîte de rangement dans une salle de bains. Effet garanti.
On aime son élégance quand elle est en verre et sa coquetterie quand elle est en céramique. Dans les deux cas, vintage, c'est quand même bien plus authentique.
L'info crousti 🍿
Marie-Antoinette était particulièrement friande de sucreries (avec une pref' pour le celles à la violette) qu'elle rangeait dans sa bonbonnière en porcelaine fétiche. Décorée avec des motifs floraux et des dorures, elle comportait même un petit compartiment secret caché dans le couvercle.
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