Miroir ancien Louis-Philippe – glace au mercure – XIXe siècle
- Dimensions :
- H64 x L47 x P4
- Couleur :
- marron
- Matériaux :
- bois (Matériau)
- Style :
- classique
Miroir ancien d’époque – Louis-Philippe / Second Empire (vers 1840–1860) – Glace au mercure – 250 €. Très beau miroir ancien, authentique, datant du milieu du XIXe siècle (vers 1840–1860), dans son jus d’origine, avec une superbe patine naturelle et une glace ancienne piquée, probablement au mercure, ce qui lui confère un charme unique et recherché. 🔸 Cadre en bois massif, mouluré et orné d’un décor de perles typique du style Louis-Philippe / Second Empire. 🔸 Glace d’époque avec tain oxydé par endroits, typique des miroirs anciens (reflets flous et profonds très esthétiques). 🔸 Dos d’origine en bois plein, avec numéro au pochoir (2115), marquage ancien des ateliers du XIXe. 🔸 Très bel état structurel, solide, non restauré, mais parfaitement stable. Ce miroir est une véritable pièce de caractère, idéale pour une déco vintage, bohème chic, wabi-sabi, ou maison de campagne. 🧭 Dimensions: 64X47 cm. 📍 Remise en main propre uniquement à Paris 19e. 💶 Prix: 250 € — Justifié par son authenticité, sa rareté, et l’élégance de sa patine.
Selency raconte le Miroir Louis-Philippe
Un peu d'histoire ? Le miroir Louis-Philippe est la version « économique » des miroirs classiques. À l’époque de sa création — pendant le règne de Louis-Philippe 1er, on a cherché à réduire les coûts de fabrication des miroirs, d’où son peu d’ornement (moins de matériaux), ses lignes simples (moins de main-d’œuvre) et son style à peine m’as-tu-vu (qu’on salue).
On vous conseille de le mettre au sol quand il est XL et de le poser sur une cheminée quand il est L.
On aime quand sa glace est piquée (c’est-à-dire assombrie de taches et loin d’être nette). Ça lui donne une authenticité folle.
L'info crousti 🍿
Pendant la guerre franco-prussienne de 1870, des soldats français ont caché un miroir Louis-Philippe derrière un mur pour le protéger et ce dernier serait resté caché jusqu’en 1929, date à laquelle la rénovation de l’édifice où il était dissimulé a donné lieu à sa redécouverte.
